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Cours Thalès progresse bien ! Edouard Morice

Edouard Morice, professeur agrégé de Physique devenu entrepreneur, fait franchir un cap à Cours Thalès.

En quoi consiste l’activité de Cours Thalès ?

Cours Thalès a été créé en 2007. Nous proposons des formations de préparation aux concours après le lycée. Notre société est basée à Paris. Plus de 3000 élèves nous ont fait confiance. Nous sommes aujourd’hui en croissance.

Au moment où nous avons rencontré Capital & Dirigeants Partenaires, nous avions besoin d’une part de capitaux et d’autre part de conseils extérieurs pour contribuer à la réflexion autour des axes de développement possibles. La contribution significative au financement avec participation au capital est en projet. Ce sont surtout les avis stratégiques et opérationnels de notre Board dont nous avons bénéficié jusqu’à présent.

Nous étions deux associés. Notre investisseur est arrivé en tierce personne et a permis d’apporter un regard neuf sur l’ensemble de notre activité. Les réunions de notre comité d’actionnaires me sont très utiles. On se voit régulièrement et c’est un moment précieux pour lever le nez du guidon ! Bruno Annequin a le recul et une vision stratégique plus globale, notamment sur les déploiements numériques possibles. Il apporte des éléments de réponse sur des sujets où des doutes peuvent persister.

Quand nous avons commencé à travailler avec Capital & Dirigeants Partenaires, le chiffre d’affaire était en croissance mais la rentabilité n’était pas bonne. Nous avons beaucoup dépensé pour soutenir la croissance, sans faire de bénéfice à ce moment là. Néanmoins, l’activité augmentait et nous hésitions à embaucher. Mon premier associé me disait que nous n’avions pas encore les moyens d’engager quelqu’un. Je sentais que ça allait être compliqué et c’est là que l’expertise d’un investisseur professionnel m’a permis de lever les doutes : il a préconisé d’embaucher non pas une puis deux mais plusieurs personnes d’emblée. La croissance était bien là, il fallait la soutenir sinon elle allait mourir. Mon associé et moi avions besoin d’entendre celà.

Quels sont vos projets à plus long terme ?

Nous envisageons comme une possibilité d’ouvrir notre propre classe Prépa. Mais avant de nous donner les moyens organisationnels de plus gros projets comme celui-ci, il faut que nous achevions cette phase de restructuration de notre activité. Nous devons nous renforcer dans nos process et notre organisation pour que l’activité puisse trouver une vitesse de croisière sereine.

Idem pour le déploiement dans d’autres villes : aujourd’hui nous sommes basés à Paris intra-muros et nos élèves viennent parfois d’assez loin pour suivre les formations que nous proposons, parce qu’ils ne les trouvent pas ailleurs. La perspective d’ouvrir des classes dans d’autres villes est dans les tuyaux.

Avez-vous des projets du côté de l’apprentissage en ligne ?

Pas encore. Nous considérons que c’est un autre métier. Cela fait partie des axes de diversification qu’on pourra s’autoriser à travailler quand nous aurons stabilisé notre fonctionnement. Cependant les réseaux sociaux nous permettent de conserver et d’animer la relation avec nos élèves.

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